Pourquoi le nombre de chirurgie réfractive a-t-il augmenté ? | Institut Pasquier | Paris

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      Augmentation des opérations de chirurgie réfractive depuis le port du masque obligatoire

      Augmentation des opérations de chirurgie réfractive depuis le port du masque obligatoire

      La pandémie de Covid-19 a bouleversé les habitudes de vie à travers le monde et des petites gênes sont vite devenues handicapantes au quotidien : les problèmes posés par l’association du port de lunettes au masque obligatoire en font partie et justifient une augmentation croissante des demandes de chirurgie réfractive. 

      Qu’est ce qu’une chirurgie réfractive ?

      Les différentes interventions ophtalmiques qui corrigent les défauts réfractifs de l’œil pour offrir une indépendance vis-à-vis des lunettes et des lentilles de correction sont regroupées sous le nom de “chirurgie réfractive”. De plus en plus demandées, ces techniques ont drastiquement progressé depuis les années 1990 et permettent désormais de corriger un grand nombre de défauts ophtalmiques avec un taux de satisfaction très haut. 

      En effet, les patients qui ont recours à ces interventions bénéficient d’un confort visuel certain. La chirurgie réfractive s’effectue à l’aide de lasers (SMILE, LAZIK, PKR) : le choix du laser est déterminé par le défaut visuel, l’épaisseur de la cornée et l’âge du patient, en concertation avec le chirurgien. 

      Pourquoi le nombre de chirurgie réfractive a augmenté ?

      Bien que les interventions de chirurgie réfractive soient connues et prisées depuis plusieurs décennies, elles connaissent aujourd’hui un engouement nouveau de la part d’un public de plus en plus demandeur d’un confort visuel accru. La pandémie qui sévit depuis 2020 a modifié les habitudes et le mode de vie de nombreuses personnes, et ces changements jouent un rôle certain dans l’augmentation du nombre de demandes de cette intervention d’ophtalmologie.  

      1er facteur décisionnel : La buée sur les lunettes à cause du port du masque

      L’une des raisons que l’on peut avancer à l’augmentation de la demande d’interventions de chirurgie réfractive repose sur la gêne que suscite le port du masque avec des lunettes. En effet, le choc de température entre le froid de l’air et la chaleur de la respiration, ou lors du passage d’un environnement froid à un environnement chaud, génère de la buée sur les lunettes. 

      Lorsque les problèmes ophtalmiques sont suffisamment importants pour prohiber de se passer de lunettes, voir mal avec ses lunettes en raison de l’accumulation de la buée est handicapant. En outre, toutes les personnes affichant des problèmes visuels corrigés par des lunettes ne peuvent bénéficier de lentilles : la solution de la chirurgie réfractive s’impose alors peu à peu comme une solution à long terme. 

      2ème facteur décisionnel : Augmentation de l’épargne grâce aux confinements

      Avec les différents confinements, de nombreuses dépenses ont pu être évitées. Sans restaurant, cinéma, vacances ou sorties en tout genre, l’épargne des ménages a augmenté. 

      Or l’intervention qui permet de corriger les défauts visuels au laser n’est pas prise en charge par la sécurité sociale et toutes les mutuelles ne la remboursent pas de la même manière. 

      Par conséquent, l’épargne qui a pu être constituée depuis le début de la pandémie et les différents confinements a contribué à orienter les patients vers le choix de cette intervention. De plus, l’imposition du télétravail et les confinements successifs ont permis d’atténuer les réticences de nombreux patients vis-à-vis de la convalescence nécessaire après cette intervention.  

      L’Institut Pasquier met les connaissances de ses chirurgiens ophtalmologistes au service des patients souhaitant corriger leurs défauts visuels à long terme à l’aide de la chirurgie réfractive. 

       

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